Historique

A la fin des années 1800, on avait en Belgique une foule de chiens conducteurs de troupeaux, dont le type était hétérogène et les robes d’une extrême diversité. Afin de mettre un peu d’ordre dans cet état de choses, des cynophiles passionnés constituèrent un groupe et se laissèrent éclairer par le professeur Adolphe Reul (1849-1907) (Professeur en zootechnie à l’Ecole de Médecine Vétérinaire de Cureghem (près de Bruxelles). Il apporta l'appui précieux de sa science pour élaborer le premier standard du Berger Belge. Juge pendant 10 ans environ il contribua à fixer les types sur la rusticité, la vaillance et la prédisposition au travail), que l’on peut considérer comme le véritable pionnier et le fondateur de la race.durant la période de 1880 à 1910, une multitude de colorations et de textures de poils était présente. Cette particularité positionna 7 à 8 variétés avec des pour et des contres, ce qui permit de garder des robes spécifiques. De ces rejets, naquirent d'autres races. La plus proche sur l'ensemble de ce contexte furent les bringés puisque l'on y retrouve des poils longs, courts, et durs, le Berger Hollandais venait de naître. La finalité de ces rejets permit aussi de marier les poils ébouriffés et mi-longs avec des types plus puissants, de là se créèrent les Bouviers.
Si dans la race du Berger Belge il y a bien une variété naturelle, c'est bien le Malinois. Systématiquement après toutes les affres du 20ème siècle, le poil court fut toujours une bouée de sauvetage pour maintenir les variétés fortement touchées par les guerres.
Les années 80 seront les années Malinois en France. Ils vont se positionner sur tous les programmes d'utilisations et démontrer s'il en était besoin des qualités indéniables pour toutes les demandes.
Ce sera aussi l'arrivée de nouveaux sangs venant de leur pays d'origine toutes fédérations confondues. Ces ouvertures vont permettre à la variété d'être reconnu de par des mariages judicieux internationalement.?
A l'heure actuelle, nous nous trouvons dans une période de mondialisation, le chien n'en est pas en reste. Cette constatation m'amène à penser qu'il n'y aura plus de compromis dans la génétique de travail. Il y aura 2 camps : le premier sera le coin des puristes n'appréciant que des sangs puissants et concrets capables de jouer sur n'importe quel programme. Le deuxième consistera a posséder une matière malléable à souhait et capable de parfaitement restituer la leçon.?
Et pourtant, nous aurons toujours besoin de ceux du premier camp pour construire ceux du deuxième ....
Si dans la race du Berger Belge il y a bien une variété naturelle, c'est bien le Malinois. Systématiquement après toutes les affres du 20ème siècle, le poil court fut toujours une bouée de sauvetage pour maintenir les variétés fortement touchées par les guerres.
Les années 80 seront les années Malinois en France. Ils vont se positionner sur tous les programmes d'utilisations et démontrer s'il en était besoin des qualités indéniables pour toutes les demandes.
Ce sera aussi l'arrivée de nouveaux sangs venant de leur pays d'origine toutes fédérations confondues. Ces ouvertures vont permettre à la variété d'être reconnu de par des mariages judicieux internationalement.?
A l'heure actuelle, nous nous trouvons dans une période de mondialisation, le chien n'en est pas en reste. Cette constatation m'amène à penser qu'il n'y aura plus de compromis dans la génétique de travail. Il y aura 2 camps : le premier sera le coin des puristes n'appréciant que des sangs puissants et concrets capables de jouer sur n'importe quel programme. Le deuxième consistera a posséder une matière malléable à souhait et capable de parfaitement restituer la leçon.?
Et pourtant, nous aurons toujours besoin de ceux du premier camp pour construire ceux du deuxième ....